Le pouvoir du copier coller est avec nous.
J'avais, longtemps, fort longtemps, recherche une puissance suffisante au combat, pour me mesuré à une personne ... Une vengence ? Une rivaliter ? Qu'en sais-je, après tout ? J'ai tout oublier. Je ne me rappele que, de ses long entrainement avec un mysterieux personnages dont la silhouette ne me revient même plus, mais son regard, sûr, courageux, et noble, m'aurat à jamais marqué.
Cette personne, à qui je doit tout ce savoir faire à épées qui m'est propre aujourd'hui.
Cette personne, à qui j'ai chercher combat ... Ha !!...
Un bretteur aussi, il me semble ... Maintes fois, je l'ai rencontré, tout ce que j'ai gagner, c'est la peur, celle de voir son épée me frôler le coeur, avant qu'il s'en ayent dans le silence ... A mes souvenirs, avant ce combat, jamais je ne lui avait porter le moindre coup.
Ce jour, ou ce moment tragique est arriver, il pleuvait.
J'étais allez dans la fôret de Serenes, pour le combattre, le combat eu lieu près du temple au fin fond de la fôret.
La pluie rendait luisante sa grisâtre cheveulure, mais ont apercevait qu'à penne son pâle visage.
Des mots. Oui, j'ai entendue des mots.
Je ne sait plus quels était ses mots, ni même leur natûres, mais ce qui était sûr, c'est que sa dernière phrase, était, d'un ton très aggressif.
Il m'a sauter dessu, d'un mouvement direct, et rapide, il avait sortit sa lame aussi vite qu'il s'était placer en face de moi, avant de porter le premier coup.
D'un geste brusque, j'ai sortit mon épée, récemment aiguiser, afin de contré la sienne ...
Il en fût bien juste, car je sentit la lame frôler ma joue, et, lentement, j'ai sentit la douleur que me donnait fiévreusement cette plaie.
Mon aggresseur murmûrant certain mots, sombres, avant de faire un coup sec vers moi, j'ai contré, pour mieux remarqué qu'il m'avais majestueusement feinté.
De toute sa force, il pointant sa lame vers moi, d'une vitesse fulgurante, fissurant les brides du vents.
Il restât, un moment, son arme pointer vers moi, quelque secondes, le temps que je réalise, dans qu'elle situation j'étais.
Situation irréparable, malheureusement, des que mon reguard ce détournât vers son épée, il l'enfonçat profondement dans mon ventre, frôlant nombres de mes organes.
Il me poussas de ses mains, et je tombis au sol, je me sentais lourde, si lourde ... Comme si mille âme me tirai vers le sol ...
Ce ne fût qu'après bien des secondes aux rythmes du néants, que la douleur c'est emplifier, et mon regard ne pût rester indifferent face à cette blessure mortelle.
Quand il retirat son épée de ma chair, ayant pitié de mon regard, le sang commençât à couler à flot.
Mon reguard ne pût croiser cette éffluve de sang, mais je la sentait parfaitement.
Tout devînt alors soudainement flou autours de moi. La dernière vision que j'ai eu, avant que l'obscuriter prenne le dessus sur ma vie, c'était cet hommes, aux cheuveux grisâtres luisants sous la pluie, cette lâme parsemer de mon sang, et ce regard meurtrier.
Je m'évanouït.
C'était la mort.
Je me suis reveiller, j'était là, coucher dans l'eau, fraîche et douce, mais surtout pure, venant de la grande source d'eau sainte de Serenes.
Ma plaît semblait s'être légèrement refermé ... Mais rester conséquente, me laissant dans un spectacle de douleur.
Le temps passe, cela fait 3 ans maintenant, j'ai repris goût à la vie, et je tente, malgrès tout, de me remémorer ses évenement passé comme je le peut, même si ils me semble douloureux, et que, ce dont je me rappele du plus, c'est la souffrance qui pris possession de mon corp en cet instant.
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on s'y croirai